samedi 20 octobre 2018 à 17h
Brésil en crise: outils pour comprendre la situation politique
Pays de la fête, de l'accueil, du métissage; telle est l'image que la majorité des Français entretiennent du Brésil. Néanmoins il suffit de quelques heures sur place pour faire face à une réalité à deux visages : d'un côté des milliers de personnes vivants en situation de pauvreté, des favelas à perte de vue et de l'autre quelques quartiers "chics" aux bâtiments ultra-sécurisés. Entre confettis et serpentins, on perçoit les inégalités et discriminations avec violence. Or ces images ne sont qu'une partie visible des multiples dysfonctionnements qui subit la "démocratie" brésilienne.
Nul besoin d'y être pour connaître les mécanismes qui ont mis le Brésil sur le railles du fascisme actuel.
Voilà le défis - un peu trop ambitieux - que l'association Cafofo (Association brésilienne de Montpellier) s'est donné pour cette table ronde : offrir des outils et des clés de lectures pour mieux comprendre la situation politique brésilienne présente et identifier comment ce géant de l'amérique du sud est arrivé aujourd'hui au bord d'une guerre civil ?
-- PT --
País de festa, hospitalidade e da miscigenação; Essa é a imagem que a maioria dos franceses tem do Brasil. No entanto, ao pisar lá, nos deparamos com uma realidade com duas faces: de um lado, milhares de pessoas que vivem na pobreza, favelas a perder de vista e, do outro, alguns edifícios "alto padrão" em bairros ultra-seguros. Entre confete e serpentina, percebemos as desigualdades e a violenta discriminação. Mas estas imagens são apenas a faceta visível das múltiplas disfunções que sofre a "democracia" brasileira.
Não é preciso estar lá para conhecer os mecanismos que colocam o Brasil na atual via do fascismo.
Esse é o desafio - um pouco ambicioso demais - que Cafofo -Association Brésilienne de Montpellier tem dado a este painel: fornecer ferramentas para compreender melhor a atual situação política brasileira e identificar como este gigante da América do Sul chegou à beira de uma guerra civil?
Source : message reçu le 16 octobre 00h